Voila, une année de plus qui va passé, voila un Noël de plus ou je ne pourrai m'empêcher de verser des larmes pour elle, cette fête de famille donc elle n'est pas présente, mais cette fête aussi ou dans mon esprit s'illumine les rêves d'une enfant réveillonnant tous ensemble.
Elle est partie trop tôt, me laissant de vague souvenir, ce n'est qu'a mon esprit d'imaginer et de rêver, et cette date du 25 décembre et connu dans les traditions pour faire rêver les enfants, alors que dire, je suis alors rester une enfant...
Un soir, cette enfant à écrit une lettre, sur une feuille, s'adressant a elle :
< Le fléau de la mort arrive a chacun de nous, il n'y a pas de chance seulement l'espoir de rester en vie plus longtemps... On n'y pense pas souvent, mais moi le soir dans mon lit, hélas j'y pense, me demandant ce qu'est la mort hormis une vaste cérémonie a laquelle ont se vêtis de noir, ainsi que le regard des gens posé sur ton cercueil triste et parfois en larme... Je me demande, si moi, il va y avoir des larmes, si les gens penseront a moi, j'aime la vie, et pendant un temps j'ai voulu connaître la mort, je n'y ai pas goûté, et parfois quand je réfléchie je me demande si elle n'est pas mon destin...
Celle que la mort m'as enlever me hante, ca fait mal, la chose la plus atroce et qui pourtant, avec le temps donne une raison, j'aurai aimer la connaître, j'aurai aimer que la mort ne me la vole pas, ainsi qu'elle me donne plus de temps pour lui donner un nom... J'aurai voulu te dire "je t'aime", te serrer dans mes bras, te parler de ma vie, ainsi que tu vois ce que je suis devenue, je l'ai toujours écrit dans mes poèmes, ainsi que je le répète maintenant... Je t'aime maman, et tu sera toujours dans mon coeur et dans mes penser, même si la mort ta voler...
J'ai du mal a imaginer ma vie avec toi, je ne sais pas si je serais ce que je suis devenu, je ne sais pas si j'habiterai ici, si j'aurai connu les gens que je connais. Le nord c'est chez moi, c'est la bas que tu m'as mise au monde, c'est la bas que j'imagine ma vie, au près de toi, au près de ta tombe... La vie ici est monotone, il n'y a aucun rythme sur le quelle je peux m'appuyer, ni même sur celui de mes amie, prétendant au nom, mais dans le coeur je me demande si il sont présent. Je ressens le manque de quelqu'un qui tien a moi, le manque d'une personne qui me borde, le manque d'une personne a qui me confier, le manque tout simplement d'une maman. Sur des milliard voir plus d'être humain, il a fallu que cela tombe sur moi !!! Je comprend le mal des autres, je comprend quand quelque chose comme cela leur arrive dans la vie, mais ce que je ne comprend pas, c'est pourquoi moi on ne me comprend pas...
J'ai le silence sur les lèvre, le coeur dort encore, l'esprit ailleurs, je ne pense pas à elle comme je pourrais y penser, car je ne la connais pas, les seule penser que j'y apportent c'est lorsque ma vie ne va pas, et que j'écris, ou que je regarde tout simplement le ciel lors d'une belle nuit étoilée, la spiritualité de l'esprit a travers cette femme qui m'as donner la vie...
A présent, je vais conclure par de simple parole pour lui dire que malgré que je ne l'ai pas connu ca reste ma maman, et que je l'aime du plus profond de moi ! >
L'enfant ne sais pas si cette lettre, sa mère l'as entendu, puis ce que souvent il l'as relis, et souvent, un cadre a son chevet avec sa photo, il l'as regarde dans le blanc des yeux et lui dit de simple parole qui ne sont d'autre que je t'aime.
Alors ce prochain 25 décembre, il regardera a sa fenêtre, peut être de la neige décorant ce vaste paysage et lèvera les yeux au ciel, la larme a l'oeil et espérant qu'elle l'entende, lui souhaitera ainsi un joyeux noël la ou elle est.
Noël est une fête de famille, est sa maman dort dans son coeur même si elle n'est pas présente l'enfant aura toujours une pensée pour elle, après tout c'est ce qu'il compte le plus, ne pas oublier les gens que l'on aime, et cette femme qui lui a donner la vie, une vie empoisonné mais tout de même la chance d'une vie bien gâtée...